Laurent Gross sur Paris : A titre indicatif, nous sommes fin 2019, et depuis 7 ans, mes honoraires n'avaient pas changés: 90 euros la consultation.
Valérie Touati-Gross sur Paris : Mes honoraires sont de 80 euros, les mêmes que pour mes consultations en ostéopathie, en totale adéquation avec ma vision de mon activité thérapeutique.
Laurence Adjadj sur Marseille : mes honoraires sont aussi de 80 euros.
Tout d'abord il faut comparer ce qui est comparable: le tarif sera évidemment différent selon que le praticien exerce dans une grande ville telle que Paris, Lyon ou Marseille, par rapport à une petite ville de province. Les loyers et charges étant différents, cela est justifié.
Par contre, bon nombre de praticiens abusent et pratiquent des tarifs prohibitifs. Tarifs prohibitifs car sans aucun rapport avec leur niveau de formation. Je m'en explique...
Le tarif est le plus souvent proportionnel au niveau d'incompétence !
Ne voit-on pas les "petits", les sans-grades", les non-praticiens de santé, oser prendre des honoraires prohibitifs ?
Pour quelles raisons ? Pour faire semblant d'être thérapeute ! Si le titre de Psychothérapeute est un titre protégé par l'Etat, le terme "thérapeute" est encore vague et flou.
Mais il n'empêche, que les pseudo-thérapeutes, les pseudo-hypnothérapeutes commencent quelques fois à être poursuivis et ont un "rappel à la loi", car pour prétendre être hypnothérapeute, il faut d'abord être thérapeute. Ce qui semble être une évidence et de bon sens... Sauf si on veut faire comme si...
Certainement ne le saviez-vous pas, mais le terme de "thérapeute" est un terme "batard", souvent employé à tort et à travers par des non-professionnels de santé ! Un titre ronflant !
C'est pourquoi on voit fleurir des "hypnothérapeutes", des "sophrothérapeutes" etc...
Alors pour faire semblant, rien de tel que de monter ses honoraires, à la hauteur, voir au-dessus des véritables praticiens certifiés par l'Etat. Et pourquoi ne pas s'installer alors dans le 16ème ou le 17ème et prendre des tarifs supérieurs à ceux d'un professeur de médecine avec un bac +15 ?
Alors voyez-vous, j'ai 30 ans d'expérience en tant que praticien de santé, près de 30.000 actes au compteur, j'ai passé des centaines et des centaines d'heures de formations, de supervisions, d'enseignement, de congrès, surtout les week-ends et les jours fériés, au détriment de la vie de famille, et lorsque je vois des "sans-grades" ayant lu des ouvrages du genre de "l'hypnotisme pour les nuls" par exemple, ou ayant été formés, par des non-thérapeutes évidemment, (voir le livre blanc des formations en hypnose), s'intitulant Maître Praticien (comme si ils avaient un grade de Master) poser leur plaque et faire de la pub sur Google, et proposer des thérapies, alors permettez-moi de craindre le pire pour ces patients... pigeons !
Mais hélas, tant qu'il y aura des pigeons, il y aura des chasseurs
Valérie Touati-Gross sur Paris : Mes honoraires sont de 80 euros, les mêmes que pour mes consultations en ostéopathie, en totale adéquation avec ma vision de mon activité thérapeutique.
Laurence Adjadj sur Marseille : mes honoraires sont aussi de 80 euros.
Tout d'abord il faut comparer ce qui est comparable: le tarif sera évidemment différent selon que le praticien exerce dans une grande ville telle que Paris, Lyon ou Marseille, par rapport à une petite ville de province. Les loyers et charges étant différents, cela est justifié.
Par contre, bon nombre de praticiens abusent et pratiquent des tarifs prohibitifs. Tarifs prohibitifs car sans aucun rapport avec leur niveau de formation. Je m'en explique...
Le tarif est le plus souvent proportionnel au niveau d'incompétence !
Ne voit-on pas les "petits", les sans-grades", les non-praticiens de santé, oser prendre des honoraires prohibitifs ?
Pour quelles raisons ? Pour faire semblant d'être thérapeute ! Si le titre de Psychothérapeute est un titre protégé par l'Etat, le terme "thérapeute" est encore vague et flou.
Mais il n'empêche, que les pseudo-thérapeutes, les pseudo-hypnothérapeutes commencent quelques fois à être poursuivis et ont un "rappel à la loi", car pour prétendre être hypnothérapeute, il faut d'abord être thérapeute. Ce qui semble être une évidence et de bon sens... Sauf si on veut faire comme si...
Certainement ne le saviez-vous pas, mais le terme de "thérapeute" est un terme "batard", souvent employé à tort et à travers par des non-professionnels de santé ! Un titre ronflant !
C'est pourquoi on voit fleurir des "hypnothérapeutes", des "sophrothérapeutes" etc...
Alors pour faire semblant, rien de tel que de monter ses honoraires, à la hauteur, voir au-dessus des véritables praticiens certifiés par l'Etat. Et pourquoi ne pas s'installer alors dans le 16ème ou le 17ème et prendre des tarifs supérieurs à ceux d'un professeur de médecine avec un bac +15 ?
Alors voyez-vous, j'ai 30 ans d'expérience en tant que praticien de santé, près de 30.000 actes au compteur, j'ai passé des centaines et des centaines d'heures de formations, de supervisions, d'enseignement, de congrès, surtout les week-ends et les jours fériés, au détriment de la vie de famille, et lorsque je vois des "sans-grades" ayant lu des ouvrages du genre de "l'hypnotisme pour les nuls" par exemple, ou ayant été formés, par des non-thérapeutes évidemment, (voir le livre blanc des formations en hypnose), s'intitulant Maître Praticien (comme si ils avaient un grade de Master) poser leur plaque et faire de la pub sur Google, et proposer des thérapies, alors permettez-moi de craindre le pire pour ces patients... pigeons !
Mais hélas, tant qu'il y aura des pigeons, il y aura des chasseurs